Xenius Pourquoi cette fascination pour les carpes koï
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Description: Au Japon, il existe plusieurs variétés de carpes ornementales, notamment le tancho ou le karashi. En Allemagne, on trouve 20 000 collectionneurs de koïs, et en France leur nombre va croissant. Ces carpes sont adulées et peuvent parfois coûter aussi cher qu’une petite maison. Une sélection stricte combinée à l’expérience et à l’instinct permet de déterminer quels spécimens seront nourris et soignés année après année, afin de pérenniser l’élevage.
Chez la famille Konishi, l’art de la pisciculture s’est transmis sur trois générations. Les Konishi ont une entreprise familiale implantée à Hiroshima et fournissent le monde entier en carpes koï. Il leur faut déployer de grands moyens logistiques pour ne faire subir aucun dommage à la précieuse marchandise. Comme ce spécimen gigantesque de 110 centimètres et de 35 kilos, d’une valeur de 60 000 euros, qui doit impérativement arriver en Suisse sans le moindre bobo.
Mais pour le véritable collectionneur, la carpe koï n’a pas qu’une valeur marchande. C’est toute une philosophie que d’élever ce poisson. Au Japon, la carpe koï est symbole de force, de bonheur, de courage, de réussite et de longévité. Et un jardin traditionnel compte généralement un étang dans lequel, idéalement, nagent des carpes koï.
A Francfort, Dörthe Eickelberg et Pierre Girard, les présentateurs de X:enius, vont tenter de cerner cette fascination en faisant appel à un spécialiste. Ils apprennent pourquoi les plus beaux spécimens proviennent aujourd’hui encore du Japon et quels critères déterminent la valeur d’une carpe koï. Ils découvrent comment il est possible de protéger des maladies ces poissons de si grande valeur.
Chez la famille Konishi, l’art de la pisciculture s’est transmis sur trois générations. Les Konishi ont une entreprise familiale implantée à Hiroshima et fournissent le monde entier en carpes koï. Il leur faut déployer de grands moyens logistiques pour ne faire subir aucun dommage à la précieuse marchandise. Comme ce spécimen gigantesque de 110 centimètres et de 35 kilos, d’une valeur de 60 000 euros, qui doit impérativement arriver en Suisse sans le moindre bobo.
Mais pour le véritable collectionneur, la carpe koï n’a pas qu’une valeur marchande. C’est toute une philosophie que d’élever ce poisson. Au Japon, la carpe koï est symbole de force, de bonheur, de courage, de réussite et de longévité. Et un jardin traditionnel compte généralement un étang dans lequel, idéalement, nagent des carpes koï.
A Francfort, Dörthe Eickelberg et Pierre Girard, les présentateurs de X:enius, vont tenter de cerner cette fascination en faisant appel à un spécialiste. Ils apprennent pourquoi les plus beaux spécimens proviennent aujourd’hui encore du Japon et quels critères déterminent la valeur d’une carpe koï. Ils découvrent comment il est possible de protéger des maladies ces poissons de si grande valeur.
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